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A 49 ans, les options de fertilité à Nairobi étaient ...
Quand j’ai fait des tests dans une Clinique FIV de Nairobi, après des analyses de sang et une échographie, on m’a dit que mes ovocytes n’étaient plus bons et que je ne pourrai pas en produire pour un nouveau bébé. J’ai déjà un enfant.
Ils m’ont donc dit que j’avais 3 options
1. Le don d’ovocytes
2. Adopter
3. Oublier d’avoir un nouvel enfant
Ce jour-là, jetais affligée et j’ai trouvé Embio en cherchant sur Internet.
J’ai ensuite soumis une demande pour savoir si la clinique Embio serait capable de considérer mon cas. Je leur ai transmis tous les résultats des tests faits à la clinique de Nairobi.
Ils m’ont immédiatement répondu que ma demande avait été transférée à un médecin et qu’ils me contacteraient.
Deux jours après, j’ai reçu un email du Dr Paraschos en personne.
Un protocole FIV pour les femmes plus âgées.
Il m’a dit, ‘’ En raison de votre âge (49 ans), les chances sont faibles mais nous pouvons vous aider. Nous avons un protocole pour les femmes plus âgées, vous pouvez commencer un traitement au Kenya et venir en Grèce pour le transfert d’embryons. Ensuite, vous pourrez repartir avec votre bébé.’’
A Embio, ils me donnaient la possibilité de tenter avec mes propres ovocytes !
Ils ont commencé à me suivre pendant 2 mois avant que je me rende là-bas, sans me demander aucun paiement !
Ils me fournissaient les prescriptions, analysaient les échographies que je leur envoyais, me disaient quoi faire jusqu’à ce que je sois prête pour le transfert d’embryons.
Vous vous rendez compte ? Tout ce suivi sans aucun paiement ?! Je suis pleine de gratitude. Vous comprenez, tout cela s’est fait si efficacement et professionnellement, que je m’attendais à une procédure automatique. Et pourtant, tout était à la fois professionnel et personnel. Je ne pourrais pas l’exprimer d’une autre manière.
D’abord, le médecin m’a prescrit de la dhea dans le but d’améliorer la qualité de mes ovocytes.
‘’Si vous insistez, on peut le faire avec vos propres ovocytes’’ m’a dit le médecin sachant que je suis musulmane et que le don d’ovocytes n’est pas autorisé.
J’ai commencé à prendre de la dhea et commencé à envoyer mes analyses de sang pour l’E2 (œstrogène).
Le premier mois, j’ai eu un problème avec un kyste fonctionnel. J’ai donc commencé à prendre un moyen de contraception (la pilule) pendant deux mois. Cela a aidé à traiter le problème. Mais cela a également révélé que j’avais encore ma capacité de reproduction! En effet, un kyste fonctionnel n’apparait que chez des femmes en âge de se reproduire !
J’ai donc commencé à prendre la pilule, le kyste a diminué, et on m’a dit de continuer à la prendre un mois de plus. Je l’ai prise deux mois et ensuite je suis allée faire une analyse de sang et une échographie qui a montré que le kyste avait disparu !
Ensuite, j’ai commencé à prendre le traitement pour la FIV le deuxième jour après mes règles.
Je recevais des mails avec des instructions, j’ai fait une échographie et des analyses de sang et je leur ai envoyé les résultats.
Au 5ème jour de mon cycle, alors que j’étais encore à Nairobi, j’ai fait une échographie et j’avais 5 follicules, 2 dans l’ovaire gauche et 3 dans l’ovaire droit. Donc, quand je suis venue à Embio, ils m’en ont prélevé 3, deux en bon état et un en moins bon état.
Au 8ème jour de mon cycle, je me suis rendue à la clinique Embio tout en continuant mon traitement pour la FIV et on a ensuite pratiqué le prélèvement des ovocytes.
Mon mari est ensuite arrivé le samedi, on a recueilli son sperme et aujourd’hui, mercredi, un embryon de 3 jours a été transféré et inshallah, on transférera vendredi un embryon de 5 jours.
Une FIV professionnelle avec une touche personnelle
Je suis très impressionnée par le programme de FIV, la clinique, le médecin, les infirmières, le suivi avant de venir et après. Le reste est entre les mains de Dieu. Mais tu ressens vraiment que le plus haut niveau de professionnalisme est atteint.
A Nairobi, on m’a dit que je n’avais pas d’ovocytes. C’est seulement en collaborant avec Embio que j’ai pu obtenir mes propres ovocytes. Le taux de l’hormone fsh était bas mais le médecin m’a dit de tout de suite commencer le traitement de dhea. Et j’ai commencé. Cela a fait mûrir certains ovocytes qui étaient déjà présents.
Je remercie Dieu de m’avoir montré le site ivf-embryo.gr.
Il y a tellement de sites de FIV. Je me sens vraiment chanceuse d’avoir trouvé le bon.
Je serai à Athènes pour 15 jours en tout.
Le onzième jour, l’infirmière est venue à mon hôtel à minuit (minuit précise !) pour me faire l’injection 2 jours avant le prélèvement des ovocytes, Cela devait être fait à minuit précise.
Je suis optimiste. Je connaissais toute la procédure avant de venir ici à Embio et le traitement a été fait au plus haut degré de professionnalisme possible. Le reste est entre les mains de Dieu.
Il y a deux ans, j’étais déjà venue à Athènes et j’avais visité l’Acropole. Maintenant je veux me reposer. La semaine prochaine j’irai visiter des musées, des lieux culturels, goûter aux spécialités culinaires grecques.
Je pense que les couples infertiles du Kenya et de Tanzanie aimeraient entendre parler du Dr Paraschos d’ Embio.
A Nairobi, il y a de très bonnes cliniques de fertilité. Mais il n’y a pas encore assez d’infrastructures. C’est encore nouveau. On doit faire des analyses à des endroits différents, pas dans un seul endroit.
Les gens aimeraient connaître Embio et le Dr. Paraschos.
En Tanzanie dont je suis originaire, (je travaille maintenant a Nairobi au Kenya), il y a de gros hôpitaux. Mais quand même, j’ai fait 4 fausses-couches et n’ai eu mon bébé qu’en 2005. Cela m’a pris 10 ans de combat.
Donc, tout le monde aimerait savoir pourquoi je suis venue à Embio à Athènes pour parvenir à avoir un enfant.
Je connais des personnes qui ont besoin d’aide à Nairobi. Je leur ai dit d’attendre et que je leur relaterai mon expérience.
Je suis musulmane, nous avons le droit de faire une FIV mais pas par don d’ovocytes ni avec une mère porteuse.
Donc beaucoup de personnes ne pourraient pas y arriver sans le Dr Paraschos et le traitement de fertilité qu’il m’a prescrit. En effet, certains décident d’abandonner alors qu’ils auraient pu tenter leur chance à Embio à Athènes.
Je suis très heureuse de partager mon expérience avec des femmes du Kenya et de Tanzanie.
Demandez au coordinateur FIV et il vous parlera de mon expérience et de mon traitement FIV à EMBIO.